Des mouvements existentiels forts, façon tsunami extérieur et intérieur me secouent depuis deux semaines.
La saveur du lumineux s'est faite discrète et ma plume s'est mise au repos.
Quand la vague émotionnelle monte, j’implore le soulagement.
La vision qu'il n'est pas de moi maîtrisant quoi que ce soit accompagne cet épisode.
La marge de manœuvre paraît inexistante.
Seul demeure ce qui est et il n'est aucun mouvement que je puisse qualifier de mien pour contrôler la situation.
Je vois se dérouler un scénario, bien sûr en lien avec des prédispositions psychologiques mais encore une fois, rien ne m'appartient et le sentiment d’impuissance est prégnant.
Des actions se posent, des choix apparents se font mais aucune tentative pour améliorer la situation n'est reconnue comme personnelle.
Aucun mouvement pour retrouver l'éprouvé du lumineux mais la certitude que le lumineux est, qu'il soit perçu ou pas.
Seul un fil semble se dérouler. Par moment s’éveille un regard bienveillant. Il se délecte d'une histoire qui peut par moment prendre le visage de l'enfer.
A l’instant de l’enfer plus de regard bienveillant, simplement l’enfer.
‘‘Je s'incline devant la diversité des paysages qu'offre à percevoir une incarnation.
Je s'incline devant le cœur qui pulse.
Je s'incline devant le silence de l'amour qui irradie.’’
Que la vie poursuive son œuvre, vicissitude apparente montrant son visage ou pas.
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